Decouverte De LAutre Sexe (Suite 2)
(Aux lecteurs qui me liraient, attention, cette histoire, bien que publiée plus tard vient bien avant la suite 3. A lire dans l'ordre svp)
Le lendemain matin, je trouvais ma femme à mes cotés. Elle dormait mais me suis glisser contre elle. Elle ne se réveilla pas et vint se lover contre moi, comme dhabitude. Que se passait-il ? Pourquoi me trompait-elle, avec une femme ? Il fallait que je lui parle, nous nous étions toujours tout dit sur nos envies, nos fantasmes.
Nous avons eu des aventures lun et lautre mais nous en avions parlé. Jai été le premier à fauter et le premier à lavouer. Alors que je mattendais à une scène elle ma longuement regardé et ma dit quelle été un peu déçu mais quelle saurait prendre sa revanche. Là-dessus elle ma fait lamour comme jamais pour finir par me lâcher elle ta baisé comme ça ta salope ? Jai fait le péteux quelques jours et puis tout est revenu à la normale jusquau jour où elle est rentrée du boulot en chantonnant et tout guillerette ma annoncé quelle venait de passer laprès-midi avec un amant. Là cest moi qui lai trainée dans la chambre et lai baisée comme jamais. Tout y est passé, jai tout donné, jai même fini par une sodomie, ce quelle naime pas trop mais je ne lui ai pas laissé le choix, elle était déjà pantelante des orgasmes précédents. Jai repris sa phrase : « Alors il ta baisé comme ça ton salop ? ». Quelques jours plus tard tout était revenu à la normale. Cest ainsi que nous nous autorisions quelques écarts, rares mais consentis car ils donnaient lieu à boost de notre libido.
Mais là, ne rien me dire ! Avoir une relation avec une copine ! Non, il y avait quelque chose de pas normal. Ce soir en rentrant du boulot il faudra que lon parle. Mais comment ne pas impliquer Philippe ? Je poserai des questions anodines, histoires de tâter le terrain, oui ma décision est prise nous aurons une discussion ce soir en rentrant du boulot.
Mais, dans laprès-midi, elle mappela pour me dire que son boss avait besoin delle à Paris (nous habitons Lyon au fait), pour un gros dossier et quelle devait sabsenter.
Cest donc au sortir du boulot en costume cravate que je me suis présenté chez lui. Il maccueillit avec un grand sourire.
- Heureux de te revoir !
- Viens, dis-je, il faut quon parle.
- Ho ! Que ce passe-t-il ?
Je minstallais sur le canapé, non sans avoir une pensée pour ce qui sy était passé, et attendis quil sinstalle sur le fauteuil.
- Nos femmes sont ensembles à Paris. Cette situation devient loufoque. Je devais en parler ce soir avec Nadège. Là ça va trop loin, il faut que nous fassions quelque chose !
- Ho attend, sur le sujet jai réussi à piquer une photo sur le téléphone de Florence, ça ma fait bander.
Choquer par ces propos et par la photo que javais sous les yeux je restais sans voix. La photo était visiblement prise par Florence et présentait ma femme en train de la regarder les yeux pétillant et la bouche collée entre ses cuisses.
Je ne trouvais rien à répondre sinon « sert moi un triple, quadruple, quintuple, sil te plait. ».
- Tu vois, en tant que suceurs, vous semblez faire un couple magnifique ! me dit-il en se penchant vers moi et en posant sa main sur ma cuisse.
Le gros quintuple de whisky avalé presque cul sec, je me levais pour partir mais lalcool, la situation, la photo, les flashes back de lautre soirée me firent me retourner vers lui :
- Tu as toujours les vêtements de lautre jour ?
- Oui, jen ai même acheté dautres, pour le cas où.
- Ne bouge pas, je prépare tout dans la chambre damis.
En patientant je pensais à la situation, si nos femmes se font plaisir pourquoi ne pas en faire autant. Pourquoi se voiler la face, javais bien, beaucoup en fait, aimé ces deux soirées. Je ne sais pas où cela nous mènera mais pourquoi ne pas poursuivre cette aventure étrange ?
Après quil mait indiqué que tut était près, je me dirigeais vers la chambre damis tandis quil sinstallait sur le canapé en me disant « Prends ton temps, il semble que nous ayons la nuit pour nous et la salle de bain est à ta disposition si besoin. ».
Sur le lit de la chambre je trouvais les mêmes affaires que la dernières fois plus quelques autres dont une guêpière assortie au string, une nuisette également assortie, une crème épilatoire zones sensibles pour homme, du parfum, un kit de maquillage pour les yeux, quelques bijoux et, ho surprise, quelques feuilles imprimées : « comment réussir son travestissement ».
Je commençais par parcourir ces quelques notes agrémentées de photos. Un peu agacé par cette lecture je finis par la jeter, pris toutes les affaires et me dirigeais vers la salle de bain. En déposant celle-ci le tube de crème épilatoire tomba, je le ramassais en me disant pourquoi pas ? Jaime que Nadège soit épilée, pourquoi pas moi ? Après la douche je men badigeonnais le tour du sexe, le haut des cuisses le bas du dos et les fesses. Quelques minutes de patience puis rinçage. Ho ! Je suis tout lisse ! Cest très étrange. Je me badigeonne de crème hydratante livrée avec et je suis encore plus doux, cest une drôle de sensation que de découvrir des zones masquées depuis la puberté. Dautant plus bizarre que cest tout doux, même mes fesses sont douces et je me surprends à les caresser avec plaisir. Bon, ce nest pas le tout mais il faut encore que je mhabille. Je commence par le string, hésite puis choisis la guêpière, jaime quand Nadège en porte.
Je marche un peu mieux avec les talons et cest dune démarche plus assurée que je pénètre dans le salon.
« Houaou ! Tu es superbe. » Me dit-il. « Veux tu bien faire un tour que je tadmire. ». Confus jobtempère, je ne mattendais tout de même pas à ces exclamations. « Je suis sans voix, je ne pensais pas que tu pourrais être aussi sexy ». « Arrête ton char » lui dis je sans pouvoir mempêcher de rougir un peu sous la flatterie. Finalement il se lève écarte les bars et me demande de venir contre lui, que je lui ai manqué. Je mavance en exagérant un peu un déhanché pour venir me blottir dans ses bras ouverts. Il me serre contre lui en plaquant ces mains sur mes fesses et je sens son désir contre le mien. Nous entamons un slow langoureux qui nous excite lun contre lautre. Il na pas lâché mon regard et en se penchant vers moi il me dit, ce soir cest à moi de te faire jouir ma chérie.
Ma chérie ? Jai un mouvement de recul, mais ces mains me tiennent fermement contre lui et sa bouche qui se pose sur la mienne a raison de mes questions. Je fonds sous son baiser, sous les assauts de sa langue, sous ses caresses sur mes lèvres. Je sens ses mains me caresser doucement les fesses tandis que nos sexes se caressent au rythme des pas de danse. Je ne sais pas si cest le fait dêtre épilé mais je ressens très fort ses caresses et colle dautant plus à lui. Ayant aussi envie de caresser quelque chose, je passe une main entre nous et lui att le sexe que je caresse au même rythme que ses mains.
Il se détache alors de moi et me prend par la main. Sans un mot il me conduit à sa chambre. Là il menlace de nouveau et nos lèvres se soudent.
Lorsquil sest relevé, il sest collé à moi, je sentais son sexe contre mes fesses, entre elles. Je sentais son souffle haletant de désir dans mon coup, ses mains qui se posent sur mes cuisses et remontent à la lisière des bas où ils sattardent un moment avant de poursuivre leur progression sur mes hanches, mon ventre, mes seins plats sous la guêpière, mon cou, ma bouche où un doigt fureteur sintroduisit. Puis redescendre sur mon ventre, vers mon sexe que le string ne parvenais plus à contenir tout à fait. Lorsquil arriva à mon gland, le contact de ses doigts me fit me cambrer et je sentis son sexe coulisser entre mes fesses. Pendant un long moment il ma titillé ainsi me faisant me cambrer à chaque fois et le frottement de son sexe sur mes fesses, entre elles devint un vrai plaisir.
Finalement, il nous fit nous allonger lun en fasse de lautre mous découvrions nos corps du bout de doigts tout en nous embrassant. Lorsquil sattarda sur mes fesses il me félicita sur leur douceur, je le félicitais en retour sur la douceur de son sexe que ma main fureteuse avait attrapé sous son boxer que je ne tardais pas à faire glisser pour me laisser le champ libre. Mais lui aussi avait la main fureteuse et je sentis un doigt venir entre mes fesses, juste un passage qui me caressa la raie protégé par la mince ficelle du string. Un peu contrarié par cette caresse je serrais les fesses. Son baiser ne devint que plus fougueux et à son second passage je laisser passer. Au troisième je ressentis quelques sensations nouvelles. Au quatrième, je trouvais cela plutôt bon. Au cinquième jai accepté quil sattarde un peu. Au sixième jai ouvert les jambes. Là il ma mis sur le ventre et à califourchon sur moi ma massé le dos au travers de la guêpière toujours en place. Il ma alors demandé si je ne voudrais pas passer la nuisette et le porte-jaretelle, que ce serait plus facile pour le massage du dos. Je lai fait sans réfléchir et cest ainsi que je me retrouvais à nouveau sur le ventre ; lui sur moi à me masser le dos. Massage qui descendit très vite sur mes fesses quil trouva magnifiques. Le massage saccompagna bientôt dun nouveau doigt fureteur qui simmisça, me frotta, me massa. Il remit un peu dhuile de massage et repris, heureusement que jai au moins un string me dis-je, sinon, il me pénètrerait. Mais ce qui devait arriver arriva, son pouce dérapa, mon string sécarta et son pouce entra. Plusieurs chose se passèrent alors, je ne suis pas certain de les donner dans lordre, je gémis, jéprouvais du plaisir, je me contractais, le jeu allait trop loin, je tentais de me relever, Je fermais les jambes, je les écartais, je disais non, pas ça.
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